Une fois qu'un être humain a l'eau, la nourriture et la santé, il a besoin d'apprendre pour élargir son horizon et accéder à de nouvelles possibilités.
Au cours des dernières décennies, l'ONU a fait preuve d'une souplesse impressionnante et d'une grande capacité de mener à bien des innovations institutionnelles.
L'enquête auprès des agents d'exécution a montré que ces derniers n'étaient pas convaincus que la réalisation conjointe donne lieu par elle-même à des initiatives intersectorielles innovantes.
Nombre de pays en développement à même de s'adapter ou d'innover ont su mettre à profit les secteurs mondialisés, selon des modalités favorables au développement humain.
Certains ont également insisté sur le besoin d'envisager des méthodes créatives pour financer les programmes de développement, par exemple à travers des contributions du secteur privé.
La solidarité, ont la volonté de développer des idées innovatrices, de sorte que nous avons toutes les raisons de croire fermement que nous avons illimité avenir meilleur.
Le niveau de formation des Rhônalpins ainsi que le fort potentiel de recherche et d’innovation favorisent le dynamisme des activités économiques et l’attractivité de la région.
Les interventions menées dans le cadre de l'Initiative pour le développement humain offrent un modèle différent, et inédit à bien des égards, pour l'action en matière de développement communautaire local.
Cette notion nouvelle s'inscrirait dans la dynamique des relations internationales et permettrait d'envisager que certaines personnes soient habilitées à formuler des actes unilatéraux et agissent de fait au nom de l'État.
Grâce au projet global d'enseignement et d'apprentissage et au site Web qui lui fait pendant, le CyberSchoolBus, le Département a mis au point des méthodes novatrices pour mieux faire connaître l'ONU.
Elles ont aussi été nombreuses à estimer que le Fonds bénévole spécial était une véritable pépinière de pratiques optimales et d'innovations en matière de volontariat et encouragé les États Membres à y contribuer.
On est maintenant en 2017, je ne suis plus tout seul (on est assez nombreux) et beaucoup de personnes ont tout simplement copié ce que je faisais et les seuls qui réussissent, ce sont ceux qui innovent.
Ceux qui réussissent, ce sont ceux qui innovent, qui font les choses différemment avec leur style ; ce ne sont pas ceux qui copient exactement ce que je fais ; ceux-là, en général, ils ne réussissent pas.