Certains anciens chefs de factions armées démantelées continuent d'organiser l'exploitation illégale des plantations dans lesquels ils commandent des groupes criminels.
La Convention no 182 de l'Organisation internationale du Travail considère la conscription des enfants comme l'une des pires formes de travail des enfants.
Les membres de la famille des ex-combattants, qui demeurent vulnérables, ont besoin d'une protection et d'un appui accrus pendant le processus de réinsertion.
Elle jure donc de se procurer le nécessaire, un cheval entre autres, les équipements n'étant pas fournis par l'État, pour partir à la place de son père.