2.Toutefois, comme les niveaux étaient très faibles, elles n'étaient décelables que par des analyses en laboratoire employant des techniques ultra modernes.
3.Les travaux relatifs à la mise au point de poussières submicroniques destinées à simuler la poussière cosmique dans des accélérateurs électrostatiques se sont poursuivis.
4.Bien qu'elles ne soient pas à proprement parler des débris spatiaux, les pluies de météorites représentent une part importante de la population de particules spatiales susceptibles d'entraîner une fragmentation supplémentaire de ces débris.
5.Lorsque les matériaux traités par fusion contiennent des hydrocarbures, des particules incomplètement brûlées peuvent se dégager, de même que des dioxines et des furanes dans les cas où des halogènes sont également présents.
6.Les experts ont constaté que plus de deux ans après la fin du conflit, des particules d'uranium appauvri étaient toujours présentes dans les échantillons de sol et dans des indicateurs biologiques sensibles, notamment les lichens.
7.La qualité de l'air est altérée par une forte concentration en dioxyde de soufre associée à la fumée et à la poussière rejetées par les industries, ainsi que par les particules en suspension transportées par le vent soufflant sur la région, qui retombent sous forme de pluies acides.
8.En effet, il est établi scientifiquement que lorsqu'un projectile contenant de l'uranium de haute densité fabriqué à partir de déchets nucléaires radioactifs provenant de la fabrication de combustibles nucléaires et de bombes nucléaires percute une cible telle qu'un char, un véhicule blindé ou un bâtiment, il produit une poussière chimique radioactive qui se disperse sur de vastes étendues et pollue l'air, le sol, les plantes et les personnes pendant des centaines de générations, la moitié de la durée de vie de l'uranium appauvri étant de 4,5 milliards d'années.