Les eaux emmagasinées dans ces aquifères sont désignées comme des eaux souterraines «captives» du fait qu'elles subissent une pression supérieure à la pression atmosphérique.
Une fois contaminées, elles peuvent être transportées latéralement sur une grande distance le long d'une trajectoire d'écoulement dans les mêmes conditions que pour un aquifère captif.
Le Rapporteur spécial reconnaît l'importance des aquifères captifs dans la région de l'État auteur de cette proposition, qui semble avoir inspiré l'adjonction des mots « captive » et « sous-jacente ».