M. Mavungo se serait arrêté pour ramasser un bidon d'eau et l'agent de police lui aurait alors assené un coup de crosse de fusil sur l'arrière du crâne.
D'après l'auteur, un policier l'a obligé à signer ces aveux sous la menace d'un pistolet et, comme il refusait, l'a frappé dans le dos avec ce pistolet.
Un bon soutien-gorge maintient bien la poitrine, mais ne la comprime pas. Il ne laisse donc aucune marque sur la peau, tant au niveau des épaules que du dos.
Bien que l'État partie affirme le contraire, l'auteur insiste sur le fait que les photographies des marques qu'il a dans le dos ont été soumises à la Commission.
Ces derniers ayant tous deux affirmé qu'ils n'en possédaient pas, l'un des hommes en uniforme aurait frappé Hermelo Falcatan de derrière et lui aurait tiré dans le dos à l'arme automatique.