Les Angolais étaient obligés d'apprendre la langue portugaise et d'assimiler la culture coloniale pour pouvoir obtenir de meilleurs résultats scolaires.
Des percussions zimbabwéennes de Blessing Chimanga, au lamento déchirant de l'Angolais Bonga, en passant par le balafon d'Abdoulaye Dembélé, toute la palette du continent le plus musical de la planète s'y retrouve.