15.Le tribunal a considéré que seuls les trois dessins établissant un rapport entre Mahomet et le terrorisme étaient susceptibles d'être jugés insultants.
17.Tous les musulmans ne respectaient pas toujours cette interdiction puisque Mahomet avait fait, par le passé, et continuait de faire l'objet de représentations respectueuses.
18.On ne pouvait donc pas considérer qu'un dessin de Mahomet en général serait contraire au dogme et au culte tels qu'ils étaient pratiqués aujourd'hui.
19.M. Diène s'est référé aussi au contexte intellectuel de la polémique sur les appels à la haine, en rappelant la publication controversée des caricatures du prophète Mahomet.
20.Les réactions aux caricatures de Mahomet montrent à quel point la compréhension et le dialogue culturels sont importants pour prévenir les conflits fondés sur les divisions religieuses.
18.Des scènes pareilles se passaient, comme on sait, dans l’étendue de plus de trois cents lieues, sans qu’on manquât aux cinq prières par jour ordonnées par Mahomet.