2.En ce qui concerne cette dernière, il a été indiqué que certaines régions RES s'étendent au-delà des 2 000 milles nautiques et qu'un certain nombre d'États se partagent une même région.
3.Les suggestions faites vont de 2 000 milles marins - pour permettre à l'État côtier d'apprécier la menace que le navire pourrait représenter pour sa sécurité et définir et mettre en œuvre une réaction destinée à réduire si besoin est ladite menace - à 200 milles marins - en vue d'aligner la distance dans ce cas sur les zones maritimes existant déjà dans le cadre de la Convention sur le droit de la mer -, en passant par le recours aux zones délimitées dans l'actuel plan provisoire de recherche et sauvetage (RES) aux fins de l'identification et du suivi des navires à grande distance.
4.La résolution RES-DGA-153-2004 portant adoption du « Manuel de procédure d'entrée des voyageurs et de leurs bagages », qui établit les normes générales applicables dans les ports douaniers autorisés.
5.L'OMI a approuvé la création d'un fonds RES pour financer les activités de coopération technique tout le long de la côte africaine entre la Mauritanie et la Somalie.
6.L'Organisation maritime internationale (OMI) a évalué l'infrastructure existante dans un certain nombre de pays africains côtiers pour les aider à mettre en place des procédures internationales de recherche et sauvetage (RES) et à créer des centres de coordination des sauvetages maritimes (MRCC).