L'ONU doit considérablement renforcer sa capacité de répondre à temps aux catastrophes qui s'abattent sur les pays en développement les plus vulnérables.
Nous condamnons fermement cette violence aveugle qui s'abat sur les minorités et qui constitue, malheureusement, le plus gros obstacle au retour des réfugiés et personnes déplacées.
Ces maux sont tellement ancrés dans son histoire que les médias internationaux sont littéralement dans l'attente des tragédies qui s'abattent sur le continent pour les rapporter.
Quand un cyclone s'abat sur une ou plusieurs grandes villes ou sur des États des États-Unis d'Amérique, les ressources sont immédiatement redistribuées pour aider les personnes touchées.
La plupart du temps, le personnel des organisations donataires abat un travail considérable et fait preuve de dévouement, offre souvent gratuitement son temps ou l'offre en contrepartie d'une indemnisation dérisoire.
Des informations font état de scènes épouvantables d'exécutions sommaires ou de tortures et de viols collectifs commis par des soldats de l'armée régulière, qui abattent ensuite leurs victimes.
L'homme, mû par la faim, abat les arbres de la forêt vierge de l'Amazonie, nous privant sans le savoir d'une fraction de l'air que nous respirons dans cette salle.
Cette violence est associée aux contraintes socioéconomiques qui s'abattent sur les ménages à faible revenu où les aïeuls sont perçus comme une charge par l'entourage immédiat chargé d'en prendre soin.
Par conséquent, c'est avec une énergie renouvelée que les États Membres doivent, aux niveaux national et international prendre toutes les mesures nécessaires pour lutter contre ce fléau qui s'abat sur l'humanité.