Derrière ces problèmes de gestion, encore une fois, M.Ohayon, l'homme d'affaires bordelais, déjà à l'origine de la liquidation de Camaïeu fin septembre.
On mange du confit de canard, des produits bien gras, on mange de la tourtière aux pommes, du pastis landais, des canelés bordelais, des macarons de St-Jean-de-Luz, plein de choses.
C'est en effet un coup dur pour ces 5300 viticulteurs bordelais avec cette crise du mildiou qui arrive au pire moment, après des années dévastatrices marquées par des aléas climatiques.
Lors que le raisin mûrit, en été, la Suède avec sa situation géographique très au nord offre à ses vignes des journées 25 % plus longues que celles dont bénéficient par exemple les châteaux bordelais.
Enfin sans être des professionnels du vin, des investisseurs chinois achètent des terres dans le bordelais par simple spéculation sur le prix de revente à l'hectare.