2.La médecine avait reconnu les effets médicaux de la morphine et de la codéine et proposait ces substances à des fins thérapeutiques, mais cela n'avait jamais entraîné une libre consommation de l'héroïne.
3.La médecine avait reconnu les effets médicaux de la morphine et de la codéine et avait accepté l'usage de ces substances à des fins médicales, mais il n'en était pas pour autant question de permettre un abus sans entraves de l'héroïne.
4.Le Gouvernement hongrois a signalé que comme l'oripavine était un alcaloïde naturel du pavot qui, avec la morphine, la thébaïne et la codéine, était présent en faible concentration dans la plante de pavot, cette substance pouvait être considérée comme un précurseur naturel de la morphine.
5.Le terme “opiacés” désigne un ensemble de stupéfiants sédatifs contenant de l'opium ou un ou plusieurs de ses dérivés naturels ou synthétiques, à savoir l'opium (brut et préparé), l'opium liquide, les capsules ou plantes de pavot à opium, l'héroïne, la codéine, la morphine et la méthadone.