L'aviation a bombardé la route côtière entre Ansariyé et Adloune, les cratères occasionnés par le bombardement la rendant impraticable à la circulation.
Les investigations menées dans le cratère ont permis de constater la présence dans un secteur précis d'une dépression rectangulaire de 40 centimètres de profondeur.
Les enquêteurs de l'Union africaine ont pu vérifier qu'il y avait des cratères de bombes remplis d'engins explosés ainsi que de munitions non explosées.
L'analyse des cratères donne à penser que les attaques héliportées se sont effectuées soit en plusieurs vagues, soit avec plusieurs aéronefs, soit les deux.
Elle a déterminé, après avoir examiné les petits cratères dans la zone de l'incident, que les grenades avaient été lancées depuis la ligne de cessez-le-feu.