1.Ce processus de « financiarisation » a, à son tour, aidé à borner la visée de la politique macroéconomique à la lutte contre le risque inflationniste.
2.La «financiarisation» accrue des stratégies des entreprises a été suivie d'une rationalisation considérable et d'une réduction de la gamme de produits relatifs à des vedettes internationalement viables.
3.Ces observateurs attribuent la cause de ce phénomène à ce qu'ils appellent la financiarisation des marchés des produits de base, c'est-à-dire la forte augmentation du volume des produits dérivés sur produits de base, nouvelles classes d'actifs financiers qui attirent les investissements de portefeuille.
2.Ce que t'expliques, c'est qu'il y a effectivement un système, il y a aussi une financiarisation d'un secteur avec des dérives qui sont présentes dessus.
3.La financiarisation de cette mondialisation qui a favorisé un effet de concentration et les nouvelles technologies, cette économie de l’innovation et de la compétence que j’évoquais, parce que c’est une économie de super stars.
4.Et il y a cette problématique des crèches avec, là encore, comme avec le sujet de la grande dépendance, la question de l'ouverture au privé et des dérives, des logiques de financiarisation que ça a pu entraîner sur le secteur.