2.Elles se fondent : 1) sur des différences de comportement imputables ou attribuables à l'individu lui-même, c'est-à-dire sur lesquelles cet individu peut exercer une action, à savoir : diligence ou paresse; application ou négligence; bienséance ou inconvenance; mérite ou démérite; respect de la loi ou tendance à enfreindre la loi; et 2) sur des différences entre qualités individuelles indépendantes de la volonté de la personne elle-même mais qui ont une valeur sociale (capacités physiques ou mentales).
2.J’ai eu l’honneur de lui parler trois ou quatre fois dans ma vie ; mais, vous le savez, c’est strictement assez pour ne pas commettre une inconvenance.
3.Mathilde avait décidé sa mère à venir aux Bouffes, malgré l’inconvenance du rang de la loge qu’une complaisante de la maison s’était empressée de leur offrir.
4.À ces mots, son orgueil, étonné de l’effroyable inconvenance de sa démarche, la suffoqua ; elle fondit en larmes, et bientôt parut à Julien hors d’état de respirer.
5.À la seconde lettre, la maréchale fut presque arrêtée par l’inconvenance d’écrire de sa main une adresse aussi vulgaire : À M. Sorel, chez M. le marquis de La Mole.
6.Je pensais, monsieur, lui dit-il un jour, qu’il y aurait une haute inconvenance à ce que le nom d’un bon gentilhomme tel qu’un Rênal parût sur le sale registre du libraire.
7.J’ai cru qu’il allait me manger, parce que nous ramenions Odette. C’est d’une inconvenance, vraiment ! Alors, qu’il dise tout de suite que nous tenons une maison de rendez-vous !