2.Si vous me connaissiez, ma cousine, vous sauriez que j'abhorre la raillerie, elle fletrit le coeur, froisse tous les sentiments ...Et il goba fort agreablement sa mouillette beurree.
2.Si vous me connaissiez, ma cousine, vous sauriez que j'abhorre la raillerie, elle flétrit le coeur, froisse tous les sentiments … Et il goba fort agréablement sa mouillette beurrée.
3.La jeune fille examinait son cousin coupant ses mouillettes et y prenait plaisir, autant que la plus sensible grisette de Paris en prend à voir jouer un mélodrame où triomphe l'innocence.