6.La photolyse directe de l'hexachlorocyclohexane dans l'atmosphère ne constitue probablement pas un processus important du devenir de la substance chimique dans l'environnement.
7.Puisqu'il ne contient pas de chromophores qui absorbent cette dernière, une photolyse directe dans l'air, dans l'eau ou dans le sol est peu probable.
8.Le SPFO est extrêmement persistant. Il n'a montré aucune dégradation dans les tests d'hydrolyse, de photolyse ou de biodégradation dans toutes les conditions environnementales testées.
9.Même dans les cas où la possibilité d'une photolyse indirecte en présence d'un agent sensibilisateur existe, on ne possède aucune preuve manifeste d'une photodégradation de la substance.
10.En général, la photolyse n'est pas censée être un facteur important dans le devenir écologique du bêta-HCH puisque celui-ci n'absorbe pas les rayons lumineux de longueur d'onde supérieure à 290 nm.
11.Bien que la photolyse ne constitue probablement pas un processus important du devenir de l'hexachlorocyclohexane dans l'environnement, la substance chimique peut se dégrader dans l'atmosphère en réagissant avec des radicaux hydroxyles produits photochimiquement.
12.Les seuls facteurs de dégradation manifestes, identifiés à ce jour, sont la photolyse, le métabolisme et la dégradation anaérobie dans le biote, qui agissent par débromation et qui produisent d'autres BDE pouvant présenter une toxicité plus élevée et un potentiel de bioaccumulation.
13.Les seuls facteurs de dégradation pertinents identifiés à ce jour sont la photolyse ainsi que le métabolisme et la dégradation anaérobie dans le biote, qui agissent par débromation et produisent d'autres BDE pouvant présenter une toxicité et un potentiel de bioaccumulation plus élevés.
14.La dégradation par hydrolyse et photolyse dont il fait l'objet est considérée peu importante et il aurait, selon les sources disponibles, des demi-vies de 2,3 jours, de 3 à 300 jours, et pouvant aller jusqu'à 2 ou 3 ans, respectivement, dans l'air, dans l'eau et dans le sol.