Le système de romanisation adopté par l'ONU était méthodiquement appliqué, conformément, donc, au principe fondamental de normalisation préconisé par la Conférence.
Ce document faisait ressortir les différences entre le système de romanisation McCune-Reischauer et le système adopté récemment par la République de Corée.
Le Coordonnateur du Groupe de travail sur la romanisation a accepté d'assurer la liaison pour les questions soulevées dans le document de travail no 78.
Ces pays avaient transmis leur système de romanisation au Groupe d'experts, qui les avaient examinés sous l'angle du bien-fondé scientifique et de la réversibilité, en particulier.
Des systèmes de romanisation nationaux existaient pour la transcription du biélorusse, du dzongkha, et du maldivien et il était à espérer qu'ils seraient communiqués au Groupe de travail.
En outre, elle s'est penchée sur l'évolution des systèmes de romanisation, les stages de formation en toponymie et la coopération avec les organisations et organismes nationaux et internationaux.
Le Coordonnateur a rappelé que le Groupe de travail avait pour mandat de définir un système de romanisation unique qui puisse être utilisé par l'ONU pour chaque système d'écriture non latin.
Il a été signalé que des demandes de renseignements concernant la romanisation avaient été adressées à l'Arménie, au Cambodge, à la Thaïlande et à l'Ukraine, mais que ces demandes étaient demeurées sans réponse.
Lors de la discussion qui s'en est suivie, il a été précisé que le chinois utilisait une écriture non phonétique, ce qui compliquait singulièrement la romanisation et surtout l'élaboration de guides de la prononciation.
Étant donné que l'Atlas était destiné au grand public, une attention particulière a été accordée aux exonymes finnois et à la romanisation des noms écrits en caractères cyrilliques, selon le modèle national finnois de translittération.
Encouragée par ces réalisations, la Conférence a insisté sur la nécessité de poursuivre la normalisation nationale et l'éducation et la pratique en matière de toponymie ainsi que la mise au point de systèmes de romanisation.
Le coordonnateur a souligné que la tâche principale du Groupe de travail était d'examiner les systèmes de romanisation proposés par les autorités nationales et conçus en vue de leur adoption par l'Organisation des Nations Unies.