3.Nous connaissons suffisamment la politique de deux poids deux mesures suivie et les objectifs inavouables caressés par ceux qui possèdent le monopole de la qualification de ces actes.
4.Le problème de l'accès des acteurs non étatiques aux armes de destruction massive réside dans l'accumulation inacceptable et à des fins inavouées de telles armes par les États.
5.La plupart des coauteurs a joué un rôle constructif mais malheureusement, quelques États avec des intentions cachées détournent la résolution de ses objectifs tels que définis dans la Déclaration.
6.4 L'État partie a signalé que les buts inavoués de l'auteur étaient politiques et qu'il appartenait à un mouvement extrémiste, fait pour lequel il avait été condamné à trois mois de prison en Tunisie.
7.La répétition de ces allégations sans fondement ne fait que confirmer nos soupçons, de longue date, à savoir que ces allégations sont motivées par des raisons politiques qui n'ont certainement rien à voir avec le vœu exprimé de non-prolifération.
8.Avec cette pratique qui se répète, on cherche à fausser l'interprétation de la Charte afin de légitimer l'usurpation des pouvoirs par le Conseil pour que celui-ci s'ingère dans les affaires intérieures d'un État, à des fins inavouables, profitant de la faiblesse et de la prostration de son peuple touché par la guerre.
9.Toutefois récemment, leur inimitié traditionnelle à propos des terres et le conflit qui les oppose actuellement sont utilisés comme une justification par les Hema, et en particulier le sous-clan extrémiste des Gegere, pour importer des armes et former leurs propres milices, l'objectif final non avoué étant de consolider leur pouvoir économique dans la région.
10.Cette demande qui visait le Chef de l'État, le symbole de sa souveraineté et de sa dignité, constituait une tentative avortée d'assassinat politique et moral, ainsi qu'une tentative de saper ou de retarder le processus de paix pour des motifs qui n'ont rien à voir avec la justice ou la réalisation de la paix et de la stabilité au Darfour, et dans un État qui n'est pas partie au Statut de Rome.
11.Cuba répète que l'usage hostile des télécommunications dans le but déclaré ou secret de compromettre l'ordre juridique et politique des États est une violation des normes internationales dans ce domaine et un emploi négatif et irresponsable de ces moyens, dont les effets peuvent susciter des tensions et des situations nuisibles à la paix et à la sécurité internationales et saper ainsi les buts et principes consacrés dans la Charte des Nations Unies.