1.L'État partie rappelle que dans toutes les décisions mentionnées il était relevé que les propos contenus dans la lettre étaient «déplacés», «de mauvais goût» et «injurieux et offensants».
2.On a cependant laissé entendre que l'expression « utilisation équitable et raisonnable », que l'on retrouvait d'ailleurs dans le projet d'article 5, était inappropriée, notant en revanche qu'une expression telle que « utilisation équitable et durable » serait plus conforme au droit contemporain de l'environnement.