2.Nos moyens actuels ne nous permettent pas de promouvoir la mise en œuvre effective de la Convention ni de lever les soupçons d'inexécution de ses dispositions.
3.Cela étant, il est regrettable que la pratique consistant à désigner à tort le village d'Akyar se soit poursuivie dans votre rapport comme dans la résolution du Conseil de sécurité.
4.Si, en plus, nous n'adoptons pas une méthode politique appropriée, nous allons nuire gravement à l'ONU qui semblera incapable de procéder à une réforme et s'exposera ainsi aux critiques de ses ennemis.
5.Bien que les États Membres puissent et doivent consulter les Directives régissant la conduite des travaux de ce dernier avant de proposer des noms, nombre d'entre eux semblent ne pas bien comprendre la marche à suivre ou ne pas savoir quelle quantité d'information donner.
6.Nombre de zones rurales, y compris en Afrique éprouvent de grandes difficultés à mettre en place des systèmes de transports du fait des carences des mécanismes de financement et de gestion des routes rurales et autres infrastructures de transports, d'apports financiers irréguliers et insuffisants, d'un manque de coordination, d'une absence de processus de prise de décisions centralisé et du statut juridique mal défini de ces routes.