5.Cette résolution ne met sur la sellette aucune nation en particulier pour la critiquer, mais exige de chacune d'elle qu'elle parvienne à une norme minimale.
7.Mme Bergh (Suède), se référant au « mythe » de l'égalité entre les sexes, estime qu'il est dangereux pour un pays d'être montré comme modèle et est consciente que beaucoup reste à faire en Suède.
8.Par ailleurs, ce projet de résolution met entièrement l'accent et nommément sur Israël, et nous montre du doigt comme aucun autre État Membre de l'Organisation des Nations Unies ne l'a jamais été en Première Commission.
9.De plus, nous notons que le point intitulé « Le risque de la prolifération nucléaire au Moyen-Orient » est toujours inscrit à notre ordre du jour, ce qui traduit une tentative politique évidente de désigner Israël de façon exagérée.
10.Selon M. Arnott (Royaume-Uni), la Commission devrait veiller à ne pas restreindre la portée de l'expression simple “dispositions raisonnables” en appelant l'attention sur une question particulière dont il faut tenir compte alors que d'autres sont exclues ou écartées.
11.Nous voudrions souligner qu'il ne s'agit pas là d'insulter un quelconque pays ni de le mettre à l'index ou de se montrer intransigeant; il s'agit simplement de refléter la réalité et de le faire d'une manière soigneusement mesurée et descriptive.
12.L'engagement potentiel de la Cour internationale de Justice (CIJ) dans cette affaire unique en son genre, tel que présenté dans le projet de résolution dont nous sommes saisis, - c'est-à-dire hors contexte - et l'expression d'un avis consultatif fondé sur un aspect isolé à dessein - l'aspect juridique - pourraient donner lieu à des interprétations susceptibles d'élargir les champs d'application.