1.En l'absence de données adéquates concernant l'homme, il est raisonnable de considérer que le chlordécone présente un risque de carcinogénicité pour l'être humain.
2.L'Agence internationale pour la recherche sur le cancer conclut qu'il existe suffisamment de preuves que le chlordécone est cancérogène pour les rats et les souris.
4.Cela permettra de traiter de façon précoce et opportune plus de 185 000 cas de lésions précancéreuses et de cancer initial et d'éviter près de 15 000 décès dus à cette cause.
5.Cette situation s'explique par le peu de temps écoulé depuis la fin de la période théorique minimale de latence, la durée insuffisante de vie en exposition au risque des populations irradiées, et probablement par les particularités des processus cancérigènes en cas d'irradiation chronique à faibles doses.