La MINUK a également commencé des préparatifs pour procéder à des exhumations au Kosovo, dans les sites où sont enterrées des victimes, afin d'identifier les restes.
À la fin de novembre, huit corps identifiés selon la méthode habituelle d'après leurs vêtements ont été rapatriés de Serbie, à la demande des familles.
Une mort en plein jour lui parut ignoble, il résolut de mourir pendant la nuit afin de livrer un cadavre indéchiffrable à cette Société qui méconnaissait la grandeur de sa vie.
Les explosifs étaient de type inhabituel, et le personnel médical palestinien n'a pas pu identifier plusieurs victimes en raison de la gravité des brûlures et du fait que les corps ont parfois été déchiquetés.
Il semble évident que ceux qui voulaient donner l'impression que les corps avaient été mutilés par les Arméniens, ont tout d'abord défiguré les cadavres de ces mêmes otages arméniens afin de rendre toute identification impossible.
Devant la base militaire où sont identifiés les corps des victimes, Israel Nati et sa famille attendent de récupérer la dépouille de leur cousin abattu lors de la rave party, mais son identification est difficile.
Une tempête de neige s'abat sur le cortège, recouvrant la fosse commune où sont déposés les 18 corps non identifiés remontés jusque-là : ce n'est que le lendemain que la remontée d'un grand nombre de cadavres sera autorisée.