Confrontés à une mauvaise image d’eux-mêmes et de leur propre corps, ils ingèrent des substances dans l’espoir de remplir un vide ou de calmer une angoisse.
Depuis cet automne, ils négocient avec le ministre de l'Emploi pour améliorer leurs perspectives de carrière mais, selon eux, les résultats tardent à voir le jour.
Devenu le premier chef de l'Etat élu au suffrage universel direct, il a déjà entamé des consultations en vue de la formation d'un nouveau gouvernement.
Le gouvernement les pressent de partager leurs profits avec leurs employés avec l'espoir de sortir le Japon de sa déflation, la baisse généralisée des prix.
Initiatives diplomatiques, sanctions contre les dirigeants politiques et économiques de la Russie, soutien à la population ukrainienne vont ainsi se poursuivre et s'intensifier avec pour objectif d'obtenir l'arrêt des combats.
Des images non datées sur lesquelles l'otage lisait un texte en anglais et appelait les gouvernements français et nigérian à ouvrir des négociations avec Ansaru en vue de sa libération...
Et puis la diplomatie, c'est chercher toutes les voies, c'est pourquoi Washington travaille aussi avec le Qatar pour la libération des otages, en vue d'éviter l'embrasement de toute la région.
Le gouvernement grec d'Alexis Tsipras poursuit son offensive dans les capitales européennes en vue d'une remise à plat de la question de sa dette et des politiques d'austérité imposées au pays.
Le principe est simple : récupérer, dans le plasma des patients guéris, les anticorps, pour les injecter ensuite chez des personnes malades ou fragiles, dans l’espoir de diminuer leur charge virale.
Concrètement, il s'agit de résoudre des problèmes légués par l'histoire pour des villes dont l'économie s'appuie principalement sur des ressources naturelles déjà épuisées, en vue de renforcer leur capacité pour un développement durable.
RA : C'est un sujet très délicat, d'abord rappelons le contexte : les États-Unis ont commencé à retirer leurs troupes en vue d'un retrait total de l'Afghanistan, qui est prévu le 11 septembre.
Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a réaffirmé mardi l'urgence de reprendre au plus vite les négociations en vue de parvenir à une solution à deux États qui mette fin au conflit israélo-palestinien.
Cependant, M. de Mistura a réitéré l'importance des engagements sérieux des parties prenantes syriennes dans les discussions, en vue de la mise en oeuvre de la résolution 2254 du Conseil de sécurité de l'ONU.