Le Rapporteur spécial fait aussi observer qu'une formation géologique doit toujours être superposée à une couche moins perméable pour pouvoir être qualifiée d'aquifère.
Parmi ces aquifères, outre ceux qui appartiennent aux mêmes formations géologiques, on peut en trouver qui sont associés à des formations géologiques différentes.
L'expression « formation rocheuse », qui était utilisée dans le deuxième rapport, peut donner à entendre que la formation se compose de roches dures et solides.
D'autres membres se sont interrogés sur l'utilité que présentait le membre de phrase «superposée à une couche moins perméable» dans la définition de l'aquifère.
Habituellement, les gisements de gaz naturel et de pétrole sont enfouis plus profondément que les eaux souterraines, ce qui rend difficile toute forme de comparaison.
Un système de forage par tube prolongateur permettra de forer dans des formations qu'il était difficile de forer avec les techniques de forage scientifiques traditionnelles actuelles.
En réalité, pratiquement tous les aquifères sont alimentés en eau d'une manière ou d'une autre car il n'existe sans doute pas de couches souterraines totalement imperméables.
La variabilité des propriétés mécaniques des terrains étant importante, il est indispensable de mieux connaître ces matériaux, avant de pouvoir formuler des conclusions définitives suffisamment fondées.
Après des années de pratique - à améliorer, est devenu applicable à tous les types de couches complexes et différentes méthodes de forage de matériel de forage.
En hydrogéologie, on entend en effet par aquifère captif un aquifère placé entre deux couches imperméables, ou presque imperméables, dans lequel l'eau est emmagasinée sous pression.
Dans l'alinéa a), le membre de phrase « superposée à une couche moins perméable » devrait être supprimé car il est superflu et risque d'être une source de confusion.
Le piégeage du CO2 consiste à capturer et stocker de manière permanente dans des formations géologiques océaniques le dioxyde de carbone qui serait sinon émis dans l'atmosphère.
Deuxièmement, pour fonctionner comme un réservoir, la formation géologique doit être perméable et comporter au moins une couche moins perméable sous-jacente et une couche similaire souvent située au-dessus.
L’Islande, absolument privée de terrain sédimentaire, se compose uniquement de tuf volcanique, c’est-à-dire d’un agglomérat de pierres et de roches d’une texture poreuse.
Le blanc commença à se dissiper. Une nouvelle fois, la croûte de quarante-cinq kilomètres d'épaisseur réaffirmait sa lourde présence : un temps sédimentaire.