L'année 1900 s'annonce charnière dans la mesure où Paris doit à la fois accueillir l'exposition universelle et la deuxième édition des Jeux Olympiques.
Le mobilier en bois a disparu, mais subsistent les charnières en os et en métal, les boutons en fer des tiroirs et les fragments de serrure, correspondant à des coffres, un coffret et une armoire.