Ntahobali est également accusé d'avoir violé des femmes tutsies, et lui et sa mère sont accusés d'avoir forcé des femmes tutsies à se déshabiller en public.
Le policier aurait fait preuve de violence lorsqu'il a fouillé les enfants à la recherche d'armes, les jetant par terre et leur ordonnant de se déshabiller.
Ses agresseurs l'ont frappée avec la crosse d'un fusil, suspendue par les pieds jusqu'à ce qu'elle commence à saigner du nez, déshabillée et brûlée à la cigarette.
Les femmes ont déclaré qu'elles avaient été déshabillées, qu'elles avaient subi des violences sexuelles et que certaines avaient été entraînées à l'écart, une par une, pour être violées.
Les hommes ont été menottés, on leur a bandé les yeux et on les a obligés à maintes reprises à se déshabiller, parfois totalement, à différents stades de leur détention.
Elle a été conduite dans des locaux de la police, où des policiers l'auraient battue et forcée à se déshabiller avant de l'interroger sur les activités des membres du FMLN.
D'après cette source, elle avait été obligée de se déshabiller à plusieurs reprises et on l'avait privée de soins médicaux, de nourriture et d'eau, tout en lui faisant subir humiliations et menaces.
Ces femmes sont victimes de viols collectifs, livrées à la prostitution, déshabillées de force et exhibées nues, forcées à manger des excréments, ou même tuées pour une faute qu'elles n'ont pas commise.
On se lance dans les grandes fêtes, « La Nuit de Chicago », « La Nuit de l’Innocence », l’élection de « Miss Vice » au Tabou, on se déshabille, on se travestit.
Certaines femmes ont été forcées à se déshabiller et à se soumettre à des fouilles humiliantes ou ont été menacées de viol ou de mort si elles ne versaient pas des sommes d'argent.
Après avoir été arrêtées, les personnes sont souvent passées à tabac et déshabillées dans des conditions humiliantes. Les interrogatoires sont souvent menés de façon dégradante et inhumaine, et la torture est parfois employée.