Les premiers jours, beaucoup d'habitants restaient encore dans les jardins de palmiers et de grenadiers qui s'étendent devant le porche, pour écouter la marée d'invocations et de prières qui refluaient jusque dans les rues.
Durant tout ce temps je n'eus pas une seule pensée sérieuse de religion, si ce n'est cette banale invocation : Seigneur ayez pitié de moi, qui cessa en même temps que le péril.