2.Après la dislocation de l'URSS, il restait sur notre territoire un nombre important d'armes nucléaires, de ces missiles stratégiques équipés d'ogives à fragmentation qui avaient reçu en Occident le sinistre sobriquet « Satan », et des bombardiers à longue portée avec leurs munitions atomiques et nucléaires.
3.Le Traité n'impose aucune limite aux missiles à têtes multiples, et notre inquiétude est grande en constatant qu'il ne prévoit pas le renoncement à l'utilisation de l'arme nucléaire et plus précisément à la possibilité de l'utiliser en cas d'agression armée, quelle que soit sa nature.