1.L'avocat de M. Marynich a présenté au KGB une demande d'abandon des poursuites pénales contre son client.
Marynich先师向克格勃提出终止对他刑事诉讼请求。
2.Sa dernière série d'articles publiés était intitulée «Le KGB vous surveille toujours».
她最后发表系列文章题为“克格勃在监视你”。
3.Un responsable du KGB a annoncé à la télévision qu'ils seraient expulsés pour ingérence dans les affaires intérieures du pays.
一个KGB官员在电视上宣布,将以干涉该国内政罪而将他们驱逐出境。
4.Le KGB l'accusait d'écrire dans ses articles des «histoires calomnieuses» sur la situation politique au Bélarus et de critiquer les mesures politiques et économiques prises par le Gouvernement.
克格勃发表正式声明,指控他在文章中就白罗斯政治局势“捏造事实”,其中他批评了政府政治和经济政策。
5.Il est né à Douchanbé (Tadjikistan), a suivi la formation de l'armée de l'air en Russie, et aurait travaillé comme agent du KGB peu avant la fin de la guerre froide.
他在塔吉克斯坦杜尚别,在国受过空军训练,而且据报在冷战结束之前不久曾担任克格勃军官。
6.La source indique également que le régime de détention des personnes placées en détention avant jugement est déterminé par l'organe chargé de l'enquête, qui, dans le cas de M. Marynich, est le KGB.
7.Par ailleurs, depuis son placement en détention, M. Marynich a déposé auprès du Département des enquêtes du KGB, du procureur de Minsk et du Procureur général du Bélarus plus de 70 requêtes contre sa détention.
8.La situation des personnes détenues dans les locaux sous le contrôle du KGB et l'absence de suivi du placement en hôpital psychiatrique de personnes faisant l'objet d'une enquête constituent également des questions très préoccupantes.
需要严重关切是被关押者在克格勃所控制设施中状况以及对被调查者送进精神病院这类情况缺乏监督。
9.Les ressources de l'État servent essentiellement à rémunérer et à contrôler la machine bureaucratique, la police, le KGB et l'armée, à diffuser la propagande présidentielle, à «récompenser» les Bélarussiens obéissants et à exclure ou à emprisonner les autres.
10.Les services d'enquête préliminaire du KGB ont placé M. Marynich en détention en application de l'article 108 du Code de procédure pénale (détention d'une personne directement soupçonnée d'avoir commis une infraction) et des poursuites pénales ont été engagées contre lui sur la base des articles 295 (2) et 377 (2).
11.Conformément au paragraphe 2 de l'article 2 de ladite loi, l'expression «services de sécurité et de renseignement d'États ayant occupé l'Estonie» désigne les services de sécurité et les services de renseignement et de contre-espionnage des forces armées de l'Union soviétique ou les organismes qui en dépendaient; conformément à l'alinéa 6 dudit paragraphe, cette définition englobe le KGB de l'Union soviétique.
12.Les fonctions qu'il avait assumées au sein du KGB de la RSS d'Estonie ne pouvaient pas être assimilées à un emploi dans les services de renseignement ou de sécurité d'un autre État et le fait de le ranger dans l'une des catégories de personnes visées au paragraphe 4 de l'article 12 de la loi sur les étrangers constituait une violation des articles 23 et 29 de la Constitution estonienne.
13.En ce qui concerne les personnes détenues par le KGB dans des lieux de détention placés sous son autorité, comme c'était le cas de M. Marynich, le Groupe de travail a fait observer qu'en pratique, nulle autorité parmi toutes celles qui sont associées à la procédure pénale, qu'il s'agisse du Ministère de l'intérieur, des procureurs ou des juges, n'exerce un contrôle effectif de la situation des personnes placées dans les centres de détention du KGB.
14.8 Se fondant sur la loi susmentionnée et sur la signification de la loi sur les étrangers, la cour d'appel a conclu que le fait que l'auteur ait été employé par le KGB de la République socialiste soviétique d'Estonie et le KGB de la République socialiste soviétique autonome de Bouriatie, ce que l'auteur a lui-même confirmé dans le questionnaire accompagnant sa demande de permis de séjour, devait être compris comme un engagement dans les services de renseignement ou de sécurité d'un pays étranger au sens de l'alinéa 5 du paragraphe 4 de l'article 12 de la loi sur les étrangers.