1.Deuxièmement, les fonctionnaires ajoutent à cette exploitation en maltraitant les enfants marginalisés sous prétexte de mettre fin à la violence dans la société.
2.Dans quelques États parties, la police aurait abusé de ses pouvoirs en maltraitant des membres de minorités raciales ou ethniques ou n'aurait pas donné suite aux plaintes pour harcèlement ou discrimination raciale.
3.Si elles se taisent, c'est par crainte d'être placées en établissement, par peur des représailles, pour éviter au maltraitant d'avoir à rendre compte de ses actes, par sentiment de honte et de gêne, ou parce qu'elles jugent la maltraitance normale, voire méritée.
4.Ils sont témoins de violences lorsqu'ils assistent à un incident ou entendent les cris et les pleurs de leur mère, les menaces proférées par le parent maltraitant, le bruit des coups de poing frappant la victime, du verre brisé ou du bois se fendant en éclats, les jurons et les insultes.
2.Bon, en réalité ça n'empêche pas plusieurs auteurs de contourner ces lois, maltraitant les morts, traitant leurs ennemis de " rhipsaspis" , c'est-à-dire de " lâcheur de bouclier" , des lâches qui fuient le combat !