Les cours des huiles végétales et des graines oléagineuses ont suivi l'évolution turbulente du marché pendant la hausse des cours des produits primaires.
Dans l'Union européenne, les plantes oléagineuses, et en particulier le colza, sont utilisées plus souvent que la betterave sucrière pour produire du biocarburant.
La production cubaine d'oléagineux est peu élevée et, de ce fait, Cuba dépend presque entièrement des importations pour s'approvisionner en huile végétale et en tourteaux.
L'économie tend actuellement à se diversifier, au profit de l'élevage, de la production de graines oléagineuses, de la culture du coton et de l'activité halieutique.
La production cubaine d'oléagineux est pratiquement nulle et, de ce fait, le pays dépend presque entièrement des importations pour s'approvisionner en huile végétale et en tourteaux.
Les communautés locales qui cultivent des oléagineux et produisent leurs propres biocarburants pour faire alimenter des groupes électrogènes gagnent en autonomie et donc en qualité de vie.
Il s'agit essentiellement d'huiles extraites du soja, de la palme et du colza, mais aussi des arachides, de la noix de coco et de nombreuses autres plantes oléagineuses.
On s'attend à un accroissement notable des importations des pays développés concernant les oléagineux, le bœuf, la banane, d'autres fruits tropicaux, les agrumes et toute une série d'autres produits.
Réviser les politiques en matière de biocarburant pour réserver à l'alimentation humaine et aux aliments pour animaux une plus grande quantité de céréales et d'oléagineux actuellement utilisés pour le carburant.
Les biocombustibles de «première génération» sont le biogazole, obtenu à partir de fèves oléagineuses et d'huile de cuisson recyclée, et le bioéthanol, obtenu à partir de céréales et de cultures sucrières.
Les collectivités locales qui cultivent des oléagineux et produisent leurs propres biocarburants pour alimenter des groupes électrogènes peuvent avoir un accès indépendant à l'électricité, et de ce fait améliorer leur qualité de vie.
La facture devrait bondir de 14% par rapport à 2020. Le volume des achats est certes en hausse, mais c'est surtout le coût des denrées qui flambe, en particulier celui des céréales et des oléagineux.