2.Ce sont les micro-organismes vivant dans des grandes profondeurs, au-dessous du fond de l'océan et plus profondément enfouis dans la subsurface qui suscitent le plus d'intérêt.
3.Cette terre, qui est probablement stérile puisqu'elle provient de la subsurface, devrait être incorporée à la terre biorestaurée afin de recevoir les éléments biologiques de la couche traitée.
4.Dans la phase d'exploitation, le dépôt inclura une zone de réception pouvant être en surface ou subsurface, ainsi que des zones de manipulation et d'emplacement des conteneurs en profondeur.
5.Il estime en particulier que la fragmentation n'est pas une bonne solution pour les lacs de pétrole secs, vu la nature de la contamination de la subsurface dans les zones considérées.
6.Le pompage et le traitement constituent une pratique fréquemment utilisée, efficace par rapport aux coûts et pouvant être utilisée soit pour éliminer les contaminants de la subsurface soit pour le confinement hydraulique d'un panache de contamination.
7.En outre, en raison de l'hétérogénéité de la subsurface, il existe généralement une très grande incertitude concernant l'efficacité des processus in-situ et les temps de nettoyage tendent à être plus longs que dans les traitements ex-situ.
8.Malgré ces facteurs, un grand nombre de technologies in-situ sont très prometteuses et - essentiellement parce que le sol contaminé et les eaux souterraines restent dans la subsurface - pourraient se révéler plus efficaces par apport aux coûts que les pratiques d'excavation et les méthodes de traitement pour un grand nombre de sites contaminés par le mercure.
9.L'intérêt se porte sur les micro-organismes associés à la faune et à la flore endémiques116, ainsi que sur les micro-organismes rencontrés dans les habitats où les conditions de température, de pression, de toxicité, d'acidité et de salinité sont extrêmes (extrêmophiles), comme ceux qui vivent dans l'Antarctique, dans les eaux abyssales, au-dessous du plancher océanique ou, plus profondément, dans la subsurface.