1.C'est là un cas topique dans lequel deux États différents se trouvaient chacun responsable des conséquences directes de leur propre comportement eu égard au seul et même incident.
2.J’ai donné ça aux miens. Je leur ai donné ça pour qu’ils se retrouvent dans la pratique. Mais s’y retrouve-t-il mieux que de la topique léguée par Freud aux siens ?
3.Certaines données indiquent que le lindane utilisé en application topique comme produit pharmaceutique aurait des effets toxiques, mais cela a été en général attribué à un mauvais emploi de la substance.
4.Il faut le dire : ce que Freud a dessiné de sa topique, dite seconde, n’est pas sans maladresse. J’imagine que c’était pour se faire entendre sans doute des bornes de son temps.
5.Le Mozambique, dans le temps, avait présenté un cas topique où les anciens combattants ont généreusement reçu des moyens de réintégration, et nous pouvons constater que depuis lors, la paix règne au Mozambique.
6.Les infractions figurant dans les conventions de l'ONU pour lutter contre le terrorisme remplissent cette condition et ont, dès la ratification de l'instrument topique par la Suisse, été considérées comme donnant lieu à extradition.
7.Pour ce qui est des actes unilatéraux des États, tout en se félicitant de la proposition tendant à ce qu'une approche plus topique soit adoptée, la représentante du Royaume-Uni note que très peu d'États ont répondu au questionnaire de la CDI.
4.Elles ont des eaux précieuses, des topiques, des spécifiques : elles donnent à la malade un flacon et un cierge, bénéficient sur le clergé et servent Dieu par l'exploitation de leurs deux marchandises.
5.Après, ce qu'on peut noter, c'est que la manière dont il en parle, en définitive, elle est assez topique, c'est-à-dire qu'il n'y a pas non plus de détails.