Pire, au lieu de la réprimander, l'Azerbaïdjan a félicité l'officier de son armée qui a décapité un collègue arménien lors d'un entraînement de l'OTAN à Budapest.
Tout en rappelant le principe de la liberté d'expression, le Ministre a souligné que les sites fermés prônaient le terrorisme et appelaient à décapiter des innocents.
Cinquante-six personnes ont été brûlées de manière particulièrement cruelle, torturées, décapitées, les yeux arrachés, les oreilles et les nez coupés et les femmes enceintes transpercées à la baïonnette.