La normalisation, les communications et le travail en réseau sont les fonctions essentielles du secrétariat du Système mondial d'observation terrestre.
L'Institut participe à l'interprétation des données de Deep Impact et aux observations terrestres d'Itokawa, astéroïde cible de la mission japonaise Hayabusa.
Le Service de l'environnement et des ressources naturelles de la FAO abrite le secrétariat du SMOT pour le compte des organisations parrainant le Système.
Ce système opérationnel comprendra une variété de systèmes de télédétection (par satellites ou fixés au sol) ainsi que des plates-formes d'observation sur place.
L'analyse des données recueillies dans le cadre de programmes d'autres pays ou par les observations au sol constitue un volet prépondérant de ces travaux.
Mis à part un réseau de stations d'observation terrestres, bon nombre d'entre elles se sont également procuré des images satellites pour surveiller ce phénomène.
La continuité des observations terrestres et par satellite est nécessaire pour rendre compte de la grande variabilité interannuelle des écosystèmes des zones sèches.
Sa brillance telle que perçue depuis un observatoire terrestre est évidemment le principal paramètre qui détermine les incidences d'un objet spatial sur les observations astronomiques.
Les diverses formes de dégradation des forêts n'étaient pas toutes identifiables à partir des données de télédétection, et des observations sur le terrain étaient souvent nécessaires.
Par ailleurs, 125 réserves de biosphère ont été sélectionnées en vue d'être éventuellement étudiées dans le cadre du projet de surveillance des écosystèmes mené par le SMOT.
L'impact sera suivi en direct par des observatoires terrestres mais aussi par un petit satellite italien, LICIAcube, qui se détachera de la sonde Dart quelques minutes avant l'impact.