GENCON affirme que cette augmentation correspondait à l'accroissement du risque d'avarie posé par les mines flottantes mouillées par les forces iraquiennes.
Les capitaineries mettent également en place des dispositifs de contrôle de l'accès aux installations portuaires et aux navires mouillés dans leur port.
Ils proposent, pour le traitement des poux de tête, l'application d'air chaud et l'épouillage mécanique par la méthode du peignage de cheveux mouillés.
Ceux dont les vêtements étaient mouillés ou imprégnés de produit lacrymogène ont reçu des vêtements supplémentaires et ceux qui voulaient aller aux toilettes y étaient emmenés.